Longue vacance, non au sens que j'en aurais pris, mais au sens de vide de communication: il a fallu que je finisse diverses choses - et de devoir m'occuper de tant de choses diverses à la fois, ça m'a tellement pris la tête que je n'ai plus eu d'espace pour ce qui pouvait attendre.
dimanche 30 novembre 2008
Longue vacance, non au sens que j'en aurais pris, mais au sens de vide de communication: il a fallu que je finisse diverses choses - et de devoir m'occuper de tant de choses diverses à la fois, ça m'a tellement pris la tête que je n'ai plus eu d'espace pour ce qui pouvait attendre.
mardi 4 novembre 2008
4 novembre 2008
jeudi 30 octobre 2008
Une ville, un musée
mardi 14 octobre 2008
Non… Si… Non… La bourse remonte!
Bon, alors, nous avons perdu un million de milliards (ou moins, ou plus), la bourse s'écroule, non, elle reprend, non elle va exploser (plus ou moins). Ce sera le krack comme en '29, pas du tout, on va s'en sortir, c'est sûr (plus ou moins).
«Il n’y a qu’une opinion publique, voyez-vous : c’est celle de la Bourse ; elle donne sa cote tous les jours. Lisez-la en faisant votre compte, même si vous revenez du bagne. Vous saurez ce qu’on pense de vous. (p. 90)
«Quand on pense, ajoute-t-il en posant la main sur la pile de valeurs, que ces papiers représentent autant d’argent, autant de travail, autant de misère !… Mais vous ne vous souciez guère de cela. Vous n’êtes pas sentimentaux. Vous volez tout le monde, et allez donc ! au hasard de la fourchette. Il doit y avoir cependant de l’argent bien répugnant, même à voler… Eh ! bien, mes amis, ces papiers représentent autre chose encore ; ils représentent notre univers civilisé. Le monde actuel, voyez-vous, du petit au grand, c’est une Société anonyme. Des actionnaires ignorants et dupés ; des conseils d’administration qui se croisent les bras et émargent ; des hommes de paille qui évoluent on ne sait pourquoi ; et toutes les ficelles qui font mouvoir les pantins tenues par des mains occultes… (p. 131)
«La Bourse est une institution, comme l’Église, comme la Caserne ; on ne saurait donc la décrier sans se poser en perturbateur. Les charlatans qui y règnent sont d’abominables gredins ; mais il est impossible d’en dire du mal, tellement leurs dupes les dépassent en infamie. Le jeu est une tentative à laquelle on se livre afin d’avoir quelque chose pour rien ; (P. 181)»
samedi 11 octobre 2008
L'écrit mène à tout...
... à la parole, à l'image, à l'action, à la paresse, à l'amour, à la haine, à…, à…, à… .